L’imaginaire libéré
Raconter sans mentir
Rêver et accomplir
S’évader sans fuir
C’est la règle dans mes récits.
Et ici aussi.
Un petit espace de liberté sur le web
Pour un écrivain, communiquer par les réseaux sociaux paraît un choix de bon sens.
Après tout :
- Tout le monde y est
- La création de compte est gratuite
- Il suffit de savoir utiliser les algorithmes
Mais il y a un problème : ce n’est pas ma façon de voir les choses.
Les GAFAM sont de grandes multinationales américaines. C’est l’acronyme de Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft. Ces cinq géants du numérique ont patiemment développé leur empire, au point de privatiser progressivement le web.
Créer ce site, l’alimenter en contenu, c’est un acte de résistance. J’affirme un droit, celui d’exister sans eux.
Et toi aussi, tu peux y trouver de nombreux avantages.
En bref, ce que tu trouveras sur ce site
Ceci est un blog d’auteur.
J’y parle de mes projets personnels.
J’ai aussi une activité de consultant,
que j’essaie de documenter.
Mais je n’en parle pas ici.
Cet espace se veut plus personnel.
Moins formel.
Bref, plus libre.
Il est principalement question d’imaginaire.
J’aborde différents aspects.
Cela peut être mes univers de prédilection,
mais aussi des auteurs que j’aime particulièrement,
ou tout simplement mes créations personnelles.
Des chroniques entre fiction et actualité
Qui a dit qu’un féru d’imaginaire était coupé du réel ?
Mes créations sont très influencées par l’actualité, mais aussi par des expériences personnelles. J’écris des chroniques où j’en parle.
Et bien sûr, je traite le sujet à ma manière, sous un angle imaginaire.
Des billets sur la littérature, le cinéma, etc.
Difficile de proposer un imaginaire puissant et inspirant, si on ne le nourrit pas soi-même.
Dans cette rubrique, je partage mes lectures, les films que je vais voir, et d’autres sources d’inspiration.
Cela peut être des sorties récentes, ou des œuvres plus anciennes, des best-sellers ou des créations plus confidentielles.
Je peux aussi te parler d’auteurs, et de leur œuvre dans sa globalité
Une réflexion plus large sur l’imaginaire
Dans cette rubrique, je suis sur une approche plus thématique.
Cela peut être un thème particulièrement à la mode, ou au contraire, en cours de ringardisation.
Une présentation de mes créations
mppok
À quoi je m’engage avec ce site
Pour la plupart des réseaux sociaux, c’est la même politique.
Celle de la boîte noire.
La mienne, c’est celle du capot ouvert.
Le meilleur gage de confiance, c’est la transparence.
Alors je t’expose les rouages de ce site.
Pour que tu saches bien comment il fonctionne.
Tu peux visiter mon site, sans aucune condition
On t’a déjà fait le coup du lien Facebook, auquel tu n’as pas accès parce que tu n’as pas de compte ?
Tu n’auras pas de ça ici.
Ça paraît évident, mais mon site ne te demande rien en échange de ta connexion. Tu peux venir, visiter, et repartir.
Je ne te demanderai rien de plus qu’une adresse mail, si tu veux commenter, m’envoyer un message ou suivre ma newsletter.
Tes données sont protégées (merci le RGPD)
Ce site est français et hébergé en France et en Suisse.
Bien sûr, tu es susceptible de laisser des données personnelles, si tu me laisses un message, mais je n’en ferai rien de plus.
Je ne les revendrai pas, je serai le seul à m’en servir, et si tu veux que je les efface, c’est l’affaire d’un simple mail.
Je ne fais qu’appliquer le droit européen, ce que Facebook et consorts ne font pas.
Les commentaires sont modérés et les trolls, interdits
Les trolls, on les préfère dans des romans.
Entre les bots, les brouteurs et les trolls, l’atmosphère est devenue franchement toxique.
Ici, tous les commentaires sont soumis à validation. Tu n’as donc rien à craindre des trolls. Je veille personnellement à ce que l’ambiance générale dans les commentaires soit saine et bienveillante.
Si tu ne trolles pas, tu peux commenter sans crainte.
Je respecte ton temps et ton attention
L’économie de l’attention, ça te parle ? Plus tu passes de temps sur les réseaux sociaux, plus ceux-ci prennent de la valeur.
C’est pour ça que Facebook, Instagram, LinkedIn et consorts valorisent autant les posts qui te font rester chez eux.
C’est aussi pour ça qu’ils te harcèlent à coups de notification.
Et c’est pour cette raison que je ne le fais pas. Ma meilleure façon de respecter ton attention, c’est de ne pas en abuser.
J’écris un contenu exigeant et je refuse l’IA
Je suis écrivain. Pour moi, un écrivain, c’est un être humain qui s’adresse à d’autres êtres humains.
C’est une sensibilité réelle, qui parle à la tienne.
Une IA ne ressent pas. Elle peut éventuellement susciter des émotions, mais elle n’en ressent aucune elle-même.
Je te l’ai dit : à mes yeux, ton attention est précieuse. Un contenu à la hauteur, sincère et exigeant, c’est donc la moindre des choses.
Je lis tous les messages et j’y réponds
J’ai un avantage par rapport aux Youtubeurs vedettes ou aux créateurs de contenu : je touche moins de monde. Et ça me va très bien ! Ça me permet d’être vraiment dans l’échange avec toi.
En touchant un public limité, j’ai le temps (pour le moment) d’avoir une attention pour chacun(e) de vous.
Si tu veux commenter mes publications, ou même m’envoyer un mail, tu peux donc le faire. Je prendrai le temps de te lire, et même de te répondre.
Une vocation : Rêver et faire rêver
On a tous eu, à un moment de nos vies, une illumination, une révélation.
Cette passion que tu as découverte et qui structure ta vie depuis. Au point parfois d’en faire ton métier.
Ce feu sacré qui t’a animé(e), et qui t’anime peut-être encore aujourd’hui.
Le voilà, mon rapport à l’imaginaire.
Une passion qui remonte à mon enfance, et qui ne m’a jamais quitté.
Je n’ai pas toujours travaillé dans l’imaginaire, mais il a toujours eu sa place dans ma vie.
Toujours.
Je te raconte.
Une enfance mâtinée de pop-culture
Je suis né dans les années 80. La dernière génération à avoir connu le monde sans Internet.
J’ai grandi avec Disney, Astérix, Tintin. Et plus tard, avec Spielberg et Lucas. Mes parents m’ont éloigné de l’animation japonaise, qu’ils jugeaient médiocre et trop violente pour mon âge.
Et à 17 ans, j’y suis revenu par moi-même. Nous étions en 2000 et Princesse Mononoke sortait au cinéma, 3 ans après sa sortie japonaise. L’occasion pour moi de découvrir un artiste dont on commençait tout juste à parler en France, un certain Hayao Miyazaki.
À cette époque, mon quotidien était un peu terne et fade. Et l’imaginaire était une porte ouverte sur l’infini.
Mon entrée dans le monde des adultes ne serait ni terne ni fade. Loin de là.
L’imaginaire, un refuge dans un monde angoissant
Le 11 septembre 2001, j’avais 18 ans. Un mois plus tard, j’allais entrer à l’université. Et je profitais de mes vacances prolongées pour lire Le Seigneur des Anneaux.
Mon entrée dans la vie d’adulte s’est faite sous le signe de l’anxiété. Et longtemps, l’imaginaire a été un refuge.
Cela valait pour la littérature, pour le jeu de rôle, le cinéma, les jeux vidéo.
J’avais l’ambition de faire du cinéma, mais à la suite d’une succession de mauvais choix, je ne l’ai pas fait.
Peut-être parce qu’au fond, je ne me reconnaissais pas vraiment dans ce qu’offrait le cinéma.
Comment je suis devenu « raisonnable » et « réaliste »
C’est l’imaginaire qui m’a aussi ramené à m’interroger sur ma propre vie, et qui m’a remis « dans le rang » à presque 30 ans. C’est à cette époque que je suis devenu enseignant.
À l’époque, je pensais avoir choisi un boulot sans histoires. Je n’étais pas prêt pour la suite.
Ma vie professionnelle a été chaotique, de moments de crise en moments de grâce. Et finalement, épuisé, incapable de continuer, j’ai jeté l’éponge.
J’ai fait ce qu’on appelle un burnout.
Comment je suis revenu à mes premières amours pour l’écriture ?
En juillet 2019, le Nanowrimo Camp a été la première chose que j’ai faite, immédiatement après mon départ de l’Éducation Nationale.
J’ai fait une pause dans la création, dans l’écriture. Mon travail d’enseignant ne me laissait plus trop de temps pour ça.
Mais même quand j’étais prof, l’envie d’écrire et le désir d’imaginaire étaient là. Ils ne m’ont jamais quitté.
C’est à cette époque que j’ai créé le personnage de Monsieur Kodiak. J’ai aussi repris le monde des Psychiques, un univers que j’avais commencé à imaginer quand j’avais 20 ans.
J’avais 36 ans quand je me suis replongé dans l’écriture. Et je n’ai plus arrêté depuis.